Courir en côte : quels en sont les bénéfices ?

Là est toute la magie de cet exercice, car courir en côte va tout d’abord renforcer ton mental.

En effet, courir sur une côte est nettement plus difficile que de courir sur un terrain plat où tu chantonnes tranquillement le dernier single de Ed Sheeran (on l’a tous fait 😉 ) ! Il va te falloir puiser dans tes réserves pour pouvoir enchaîner des allers-retours le long de ce mur qui se dresse littéralement devant toi ! 

Et parce aujourd’hui je suis d’humeur à te balancer quelques expressions (« Qui peut le plus, peu le moins »…), je peux te dire que si tu réussis tranquillement à courir le long d’une côte, alors courir sur du plat lors d’un 10 km sera une partie de plaisir pour toi !

Tu vas également progresser musculairement !

Bon je ne te promets pas le corps du super héros Thor, mais tes quadriceps, principalement, vont te remercier, et toi tu vas apprendre à me détester quand ceux-ci te brûleront lors de ta séance !

En outre, tu développeras ta filière aérobie !

Tout comme pour une séance de VMA ou de fractionné, courir le long d’une pente va te permettre de développer ce point-là, mais je reviendrai dessus directement dans un article traitant de la filière aérobie, tellement il y a de choses à dire sur ce sujet !

Ta technique, tu vas affuter !

En effet, tu vas pouvoir, au fur et à mesure des montées, peaufiner un peu plus ta posture, afin de te sentir bien dans ton corps, sans ressentir aucune douleur (petit plus pour les trailers, pour la descente, il peut être judicieux de souffler tout en travaillant sa technique ;)).

Dernier point qui est encore discuté par les professionnels et qui dépend réellement de ta façon de pratiquer :

la séance en côte serait moins traumatisante pour tes jambes,

 tu imposerais un rythme bien moins rapide et des forces d’impact beaucoup plus faibles à tes articulation qui te remercieront de ce fait !   

Là est toute la magie de cet exercice, car courir en côte va tout d’abord renforcer ton mental.

En effet, courir sur une côte est nettement plus difficile que de courir sur un terrain plat où tu chantonnes tranquillement le dernier single de Ed Sheeran (on l’a tous fait 😉 ) ! Il va te falloir puiser dans tes réserves pour pouvoir enchaîner des allers-retours le long de ce mur qui se dresse littéralement devant toi ! 

Et parce aujourd’hui je suis d’humeur à te balancer quelques expressions (« Qui peut le plus, peu le moins »…), je peux te dire que si tu réussis tranquillement à courir le long d’une côte, alors courir sur du plat lors d’un 10 km sera une partie de plaisir pour toi !

Tu vas également progresser musculairement !

Bon je ne te promets pas le corps du super héros Thor, mais tes quadriceps, principalement, vont te remercier, et toi tu vas apprendre à me détester quand ceux-ci te brûleront lors de ta séance !

En outre, tu développeras ta filière aérobie !

Tout comme pour une séance de VMA ou de fractionné, courir le long d’une pente va te permettre de développer ce point-là, mais je reviendrai dessus directement dans un article traitant de la filière aérobie, tellement il y a de choses à dire sur ce sujet !

Ta technique, tu vas affuter !

En effet, tu vas pouvoir, au fur et à mesure des montées, peaufiner un peu plus ta posture, afin de te sentir bien dans ton corps, sans ressentir aucune douleur (petit plus pour les trailers, pour la descente, il peut être judicieux de souffler tout en travaillant sa technique ;)).

Dernier point qui est encore discuté par les professionnels et qui dépend réellement de ta façon de pratiquer :

la séance en côte serait moins traumatisante pour tes jambes,

 tu imposerais un rythme bien moins rapide et des forces d’impact beaucoup plus faibles à tes articulation qui te remercieront de ce fait ! 

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